#rigidité collective
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La posture juste
Notre psychopathie et notre rigidité collectives vont jusqu’à imaginer un transhumanisme pour s’assurer le contrôle absolu. Cela commence par la volonté d’améliorer le rendement des récoltes en répandant des herbicides et des pesticides dans les champs; cela continue par la modification du génome des espèces végétales que nous voulons voir pousser malgré la présence d’herbicides; cela se poursuit…

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Analyse de la collection “Universal-Bibliothek”, de l’éditeur Reclam Verlag






RECLAM VERLAG, “Universal-Bibliothek”, Allemagne, depuis 2012, 147×96mm.
Lancée en 1867 par l’éditeur Reclam, “Universal-Bibliothek” est une collection de livres de poche allemande, dont le petit format et le bas prix en font des ouvrages populaires auprès des lycéens et étudiants. En observant les couvertures, nous remarquons une homogénéité et une stabilité dans les choix graphiques qui ont été opérés. En effet, pour l’intégralité des couvertures, le fond est un aplat monochrome, sur lequel est positionné systématiquement en haut de page une cartouche blanche ainsi qu’un filet épais noir juste en dessous de celui-ci. La collection utilise exclusivement le même caractère à empattement dans la même taille et graisse de corps pour faire voir le nom de l’auteur, systématiquement positionné au-dessus du titre de l’ouvrage dans la cartouche, ainsi que le nom de l’éditeur en dessous du filet. Parfois, nous pouvons remarquer qu’un sous-titre est présent dans la cartouche : dans ce cas, celui-ci est présenté dans un corps plus petit. Dans d’autres ouvrages, nous trouvons une mention textuelle à la suite du nom de l’éditeur (tels que “Erläuterungen und Dokumente” ou “Fremdsprachentexte”), également composée dans un corps plus petit que le le titre, nom de l’auteur et de l’éditeur.
1– Quelle stratégie d’image de marque l’éditeur semble-t-il adopter ici ? Expliquez.
En regardant ce vocabulaire mobilisé dans la construction de la ligne graphique de la collection, l’éditeur Reclam Verlag semble se positionner une stratégie de marque visant à valoriser au maximum la visibilité de l’ensemble de la collection, au détriment de l’identité du titre individuel. Nous pouvons supposer que les raisons pour lesquelles la maison d’édition a adopté cette stratégie sont semblables à celles de la collection “Blanche” de Gallimard. En installant un effet de répétition dans ses livres de poche, d’une rigidité qui l'amène presque à un effet de dépouillement, “Universal-Bibliothek” construit une image de marque sérieuse, qui l’inscrit dans le paysage comme une référence dans la littérature scolaire et universitaire. Cela est appuyé par l’organisation de la collection, à travers un code chromatique qui joue un rôle signalétique dans la distinction des ouvrages classiques (jaune), didactiques (bleu), classiques et philosophiques bilingue (orange), etc. Cette stratégie lui permet aussi d’exprimer un certain effet d’autorité, car l’image renvoyée est celle d’une maison d’édition qui a tellement confiance en lui qu’il peut se permettre de se mettre directement en avant, sans passer par l’autorité symbolique de l’auteur.

Vue d'ensemble de la collection “Universal-Bibliothek”, avec les livres de poche disposés dans une bibliothèque.
2– Quel rôle le caractère typographique choisi par les deux graphistes joue-t-il dans un tel positionnement ?
Le caractère typographique utilisé dans les couvertures de “Universal-Bibliothek” est le DLT Documenta (Franck E., 1993). C’est un caractère à empattement, qui semble être davantage adapté à la mise en forme d’un texte que celle d’une couverture de livre. Cependant, malgré le fait qu’il ne soit pas un caractère de titrage, le choix du DLT Documenta est intéressant dans le cadre de stratégie d’image de l’éditeur, car il appuie dans un premier temps la recherche supposée d’un effet de dépouillement dans la couverture. Aussi, notamment grâce à ce choix typographique, et en supposant que le texte des pages intérieures soit aussi composé avec le DLT Documenta, l’éditeur Reclam Verlag semble démontrer qu’il est tellement sérieux et confiant quant à ses textes qu’il n’a pas besoin de se préoccuper des choix typographiques des couvertures de sa collection.
3– De quelle manière cette collection s’inscrit-elle dans une tradition assez typique de l’édition allemande en littérature et en sciences humaines au XXe siècle ?
En la mettant en parallèle avec les collections de l’éditeur Suhrkamp, nous pouvons remarquer que “Universal-Bibliothek” s’inscrit dans une tradition assez typique de l’édition allemande en littérature et en sciences humaines au XXe siècle, qui consiste à doter les collections de livre d’une image très forte pour l’implanter dans le paysage littéraire. Cela passe par l’adoption d’un système d’information très sobre dans lequel la ligne graphique se définit avant tout par ses invariants, comme l’utilisation d’un seul caractère typographique pour la composition des éléments textuels. L’élément le plus percutant dans cette tradition est l’absence d’iconographie, et l’utilisation d’un seul aplat de couleur par couveture (ou d’un motif qui vient d’un papier-peint, dans le cas de la collection "Insel-Bücherei" des éditions allemandes Insel Verlag). Son premier rôle est de servir de distinction signalétique, permettant par exemple au lectorat de reconnaître la collection à laquelle appartient tel livre, et ainsi passer un pacte de confiance entre l’éditeur et ses lecteurs, qui aura l’habitude de cette constance dans le paysage éditorial. Cela est particulièrement visible dans la collection “Willy Fleckhaus” (éditions Suhrkamp, sciences humaines), dans laquelle toutes les couvertures sont en aplat de couleur noir.


INSEL VERLAG, "Insel-Bücherei", Allemagne, depuis 1912, 120×184mm.
SUHRKAMP VERLAG, "Willy Fleckhaus" (sciences humaines), Allemagne, depuis 1963, 108×176mm.
Mais la mobilisation de l’aplat de couleur va au-delà de ce rôle signalétique pour distinguer une collection des autres. Dans le cas de “Universal-Bibliothek”, chaque couleur correspond à un genre littéraire, alors que dans le cas de “Willy Fleckhaus” (éditions Suhrkamp, littérature), la couleur sert à donner une unité aux ouvrages parus sur une année : quarante-huit titres paraissent par an, et ces mêmes ouvrages se ventilent selon l’ordre des couleurs de l’arc-en-ciel. Ainsi, chaque année se différencie des autres par cet ordre (du rouge au violet pour une année, et du jaune au bleu pour une autre, par exemple). À partir de ces cas, nous pouvons donc observer que l’aplat est réapproprié par ces maisons d’éditions allemandes de manière singulière pour organiser des “sous-collections”, des collections dans la collection.

SUHRKAMP VERLAG, "Willy Fleckhaus" (littérature), Allemagne, depuis 1963, 108×176mm.
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Phantom Brave : The Lost Hero

https://www.youtube.com/watch?v=TZSJC1oYxfY
Phantom Brave: The Lost Hero – L’outsider qui refuse d’être oublié
Dans le monde des RPG tactiques, Disgaea a longtemps occupé toute la lumière, reléguant ses petits frères à l’ombre. Et parmi eux, Phantom Brave a presque été effacé de la mémoire collective. Sorti en 2004 sur PlayStation 2, un an après Disgaea, il s’est retrouvé à errer comme un fantôme sur Wii, PSP et PC, avant d’être discrètement glissé dans une compilation sans même avoir son nom en couverture (Prinny Presents NIS Classics Volume 1). Autant dire que personne ne pariait sur son retour.Et pourtant, contre toute attente, Nippon Ichi Software, en pleine tempête financière, nous balance Phantom Brave: The Lost Hero. Un coup de poker nostalgique ou une vraie résurrection ?Un retour entre nostalgie et surpriseEn lançant cette suite, l’impression est immédiate : Phantom Brave n’a rien perdu de son charme, mais il a aussi su évoluer. Sa mécanique unique de confinement, où les esprits fusionnent temporairement avec les objets du décor, revient avec une approche encore plus exigeante. Le gameplay reste fidèle à son ADN tout en peaufinant ses mécaniques pour offrir plus de profondeur tactique.Ce retour surprise a de quoi ravir les fans de la première heure et intriguer ceux qui n’avaient jamais posé les mains sur l’original. Après tout, vingt ans d’attente méritent bien un peu d’enthousiasme. Mais la vraie question reste : Phantom Brave peut-il aujourd’hui exister en dehors de l’ombre de Disgaea ?Une chose est sûre, ce fantôme du passé refuse de disparaître.
Phantom Brave: The Lost Hero – Un fantôme bien vivant, mais en 3D discutable
Dans l’univers de Nippon Ichi Software, il y a Disgaea, la série phare, et puis il y a les autres. Et parmi ces "autres", Phantom Brave fait figure de paria injustement boudé. Pourtant, contrairement à son cousin déjanté, il s’offre une narration plus mature et développée, avec des personnages travaillés et des thèmes existentiels abordés avec une certaine finesse. Alors que Disgaea aligne les gags et les stéréotypes jusqu’à l’absurde, Phantom Brave ressemble davantage à un RPG japonais traditionnel : cohérent, émouvant et ponctué de véritables enjeux.Avec The Lost Hero, cette essence est préservée, tout en adoptant un ton plus léger. Marona et son fidèle garde du corps spectral, Ash, reviennent dans une aventure qui démarre six mois après les événements du premier opus. Après une rencontre malheureuse avec des pirates, Ash disparaît, laissant Marona naufragée sur une île mystérieuse. Avec l’aide d’un nouveau fantôme, Apricot, elle part à sa recherche en sillonnant les mers et en recrutant un équipage aussi excentrique que redoutable.Un RPG tactique aux airs de déjà-vu, mais toujours efficaceLa structure du jeu est familière : chaque chapitre alterne entre des séquences narratives et des combats stratégiques, avant un retour à la base pour gérer son équipe, ses objets et ses compétences. On retrouve un cycle simple et efficace, porté par des dialogues bien écrits, loin de la parodie burlesque de Disgaea.Le jeu propose une campagne d’une trentaine à une quarantaine d’heures, avec un casting attachant et des interactions savoureuses. Toutefois, le choix esthétique de la 3D super déformée (chibi) pour représenter les personnages risque de diviser. Si l’idée pouvait être purement stylistique, elle semble surtout dictée par un budget serré.
Phantom Brave: The Lost Hero – Un tactical aussi profond que chaotique
Si Disgaea est connu pour son gameplay stratégique barré et son empilement absurde de mécaniques, Phantom Brave joue dans une autre cour. Ici, point de grilles rigides ni de combats dignes d'un anime sous acide : The Lost Hero conserve la complexité de son prédécesseur tout en proposant un système plus libre, où chaque déplacement et action doivent être mûrement réfléchis. Mais avec cette profondeur vient une certaine rigidité... et des performances techniques.Un gameplay aussi riche que chaotiqueLa grande particularité de Phantom Brave réside dans son système de confinement des fantômes. Marona, seule humaine jouable, doit invoquer ses alliés en les liant à des objets présents sur le champ de bataille – rochers, pots, armes, tout est bon à posséder. Chaque fantôme matérialisé hérite ainsi des caractéristiques de son support, et ne peut rester actif qu'un nombre limité de tours. Résultat : il faut constamment jongler entre les unités, anticiper leur disparition et optimiser chaque invocation pour ne pas se retrouver à court d’alliés à un moment critique.Cette dynamique confère au titre une profondeur stratégique impressionnante, renforcée par l'absence de grille de déplacement. Contrairement à Disgaea, où chaque case est une certitude, ici, on évolue librement sur le terrain en tenant compte des reliefs, des obstacles et des distances réelles. Ajoutez à cela la possibilité de ramasser et jeter des objets (et même des ennemis) hors du champ de bataille pour s’octroyer des avantages tactiques, et vous obtenez un système aussi grisant que déroutant pour les non-initiés.Un apprentissage exigeant, mais une accessibilité surprenanteLa première prise en main est un brin laborieuse. L'interface n'est pas des plus intuitives et la quantité d’informations à assimiler est colossale. Heureusement, The Lost Hero introduit ses mécaniques progressivement et permet même aux joueurs les moins rigoureux d’arriver au bout de l’aventure sans forcément optimiser chaque détail. Vous pouvez très bien avancer en récupérant simplement les armes trouvées sur les ennemis et en les équipant aux fantômes sans passer des heures à les fusionner ou à maximiser leurs statistiques.Les vétérans de Disgaea retrouveront cependant tout ce qui fait le charme des productions Nippon Ichi : personnalisation d’équipe poussée, mécaniques empilées jusqu’à l’absurde, et un contenu post-game colossal avec des missions et des personnages supplémentaires pour pousser les chiffres toujours plus loin.Verdict : un tactical brillant, mais maladroitement portéPhantom Brave: The Lost Hero est une suite fidèle, qui modernise légèrement un concept toujours aussi original. Son gameplay riche et stratégique ravira les amateurs du genre, même si sa prise en main exige un peu de patience. Malheureusement, il semblerait que dans la communauté Switch, des soucis techniques viennent ternir l’expérience, rendant l’aventure parfois frustrante. Si vous aimez les RPG tactiques exigeants et que vous avez la possibilité d’y jouer ailleurs que sur la console hybride de Nintendo, foncez. Sinon, attendez un patch avant d’embarquer pour cette aventure fantomatique.

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À coups de marteau, diront certains ?
( bientot une page Miaou tseu )
À coups de marteau, diront certains ?
Cet article porte indéniablement la marque d’un esprit cynique, dans le sens classique du terme. À la manière des philosophes cyniques de l’Antiquité, il n’hésite pas à questionner, voire à démolir (À coups de marteau, diront certains ?) une figure sacrée comme celle de Socrate, en dévoilant ses possibles contradictions et failles humaines. Là où l’idéal platonique est souvent présenté comme un sommet de sagesse, l’article s’efforce de démontrer que, derrière cette façade, pourrait se cacher une dynamique plus trouble, teintée de pouvoir, de frustration et même de perversité.
Mais plus que de s'en prendre à Socrate ou au sous-socratique Platon, il se veut une critique de l'admiration aveugle, qu'elle soit portée à des figures historiques ou contemporaines. Cette admiration, qui mène souvent à la sublimation, devient un prétexte à la non-réalisation de soi. L'adage « l'élève dépasse le maître », pensé comme une invitation à la progression et à l’émancipation, est ici remplacé par une autre réalité : « l'élève ne peut pas dépasser le maître ».
Le cynisme ici ne consiste pas à rejeter purement et simplement les idées de Socrate, mais à en explorer les aspects ambivalents, souvent ignorés ou minimisés. Ce regard critique remet en question les illusions d’absolu ou de perfection, révélant l’humanité brute du philosophe. Cela peut déranger, mais cela éclaire aussi : en rendant Socrate faillible, l’article permet de le comprendre autrement, non plus comme un modèle intouchable, mais comme un homme complexe et contradictoire.
Deux forces en tension : tradition et culture vivante
Il y a deux grandes forces dans une civilisation, deux plaques tectoniques qui, en se rencontrant, peuvent soit ériger des sommets glorieux, soit provoquer des séismes dévastateurs. Ces deux forces sont la tradition et la culture vivante.
Le rôle de la tradition est de transmettre à la culture vivante une base solide, un terreau fertile, un garde-fou. Elle est le socle sur lequel s’appuyer pour éviter les dérives et conserver un lien avec le passé. La culture vivante, quant à elle, a pour rôle de s’adapter, de transformer et de nourrir la tradition. Sans cette interaction, la tradition risque de devenir un dogmatisme stérile, adorateur d’égrégores, une illusion figée déconnectée de la réalité. Une telle situation mène inévitablement à l’autodestruction.
L’histoire regorge d’exemples où cet équilibre a été rompu : des dogmes religieux figés à l’extrême, des partis politiques enfermés dans leurs certitudes, et plus généralement, des groupes d’individus qui, en se déconnectant du réel, sombrent dans le conflit et la division. Ces dérives ont conduit à des guerres, des massacres, et finalement à l’échec des civilisations elles-mêmes.
À l’échelle de l’individu
Lorsque la tradition devient dogmatique, elle impose une rigidité mentale qui se renforce à mesure que la croyance s’érige en certitude. Dans ce contexte, l’égrégore – cette construction collective de croyances et d’idées – finit par remplacer le réel, entraînant une déconnexion dangereuse.
À l’inverse, une culture vivante qui détruirait systématiquement la tradition, son propre terreau, provoquerait d’autres excès : une instabilité permanente, une perte de repères, et une incapacité à construire sur le long terme. Une culture qui rejette son histoire s’auto-sabote, condamnée à l’échec.
Conclusion : le jardinier de la civilisation
Je conclurai en prenant l’image d’un jardinier : quel jardinier travaillerait sa terre tout en refusant que des plantes y poussent ? Et quel jardinier cultiverait des plantes qui détruisent son propre sol ?
Une civilisation, comme un jardin, a besoin de cet équilibre : un terreau riche fourni par la tradition et des plantes vivantes, capables de s’épanouir, de s’adapter et de nourrir ce même sol pour continuer à prospérer.
Voici le texte corrigé pour l’orthographe et la grammaire, sans aucune modification ni censure :
L’ombre de Socrate
Socrate et l'idéal d'amour platonique : un refus de chair ou une impuissance sublimée ?
Socrate, figure emblématique de la philosophie antique, a profondément marqué l'histoire de la pensée en introduisant une notion singulière et controversée : l’amour platonique. Cet idéal, souvent interprété comme une forme d’amour détachée du désir charnel, semble ériger un mur infranchissable entre le corps et l'esprit. Mais que cache réellement cette posture ? Une quête spirituelle sincère, une incapacité physique ou une stratégie sadique de domination ?
L’amour platonique : idéal spirituel ou manipulation déguisée ?
Socrate, dans les dialogues de Platon, célèbre l’élévation de l’âme par le biais de l’amour. Selon lui, le véritable amour ne réside pas dans l’attirance physique, mais dans la contemplation des idées éternelles, notamment la beauté et la vérité. Il rejette le désir corporel comme éphémère et trompeur, le considérant comme un obstacle à l’élévation de l’âme.
Cependant, derrière ce discours idéalisé, une autre lecture s’offre à nous. Loin d’être une simple quête de spiritualité, l’amour platonique tel que pratiqué par Socrate pourrait refléter un plaisir sadique et manipulateur. En jouant avec les attentes de ses disciples, il entretient leur frustration, les enfermant dans une quête sans fin. Alcibiade, dans Le Banquet, témoigne de cette dynamique : fou de Socrate, il raconte comment ce dernier l’a repoussé malgré ses avances explicites. Ce refus, loin d’apaiser son désir, le plonge dans une souffrance psychologique que Socrate semble maîtriser à la perfection.
En se refusant, Socrate exerce un pouvoir paradoxal : il devient l’objet d’un désir qu’il ne satisfait jamais, créant une dépendance chez ceux qui l’admirent. Ce refus systématique, présenté comme une quête de vertu, pourrait bien cacher une incapacité physique ou une stratégie consciente pour dominer les autres.
La chair comme fondement de l’amour
Contrairement à l’idéal socratique, il semble évident que l’amour véritable implique la chair. Une mère qui serre son enfant dans ses bras incarne un amour profond et concret. Ce geste affectueux donne un socle tangible à une relation qui, sans cela, resterait froide et désincarnée. Que deviendrait un enfant à qui l’on dirait « Je t’aime » sans jamais le toucher, sans jamais lui offrir la chaleur d’un câlin ? Cet enfant manquerait d’une base affective essentielle, car l’amour s’exprime autant par les mots que par le corps. (Je donne en fin d’article la liste exhaustive des pathologies possibles que cela entraîne.)
Ce refus systématique n’est-il pas l’œuvre d’un pervers, qui prend plaisir à torturer ses disciples en se refusant à eux ? Ce refus n’est pas neutre : il joue sur le désir pour asseoir son emprise. Chaque regard, chaque parole devient un instrument de pouvoir. Sous couvert de philosophie, Socrate impose une torture psychologique déguisée en sagesse, transformant l’amour en une arme de domination.
Ce sadisme, volontaire ou inconscient, renforce l’image d’un Socrate au-dessus des besoins ordinaires, mais crée une souffrance bien réelle chez ceux qui l’entourent. En suscitant le désir tout en le frustrant, il se place en maître absolu, jouissant de sa supériorité. Un complexe de supériorité est souvent le fruit d'un complexe d'infériorité.
Socrate, décrit comme un homme au physique ingrat et vieillissant, pourrait également avoir sublimé une incapacité physique en un idéal philosophique. En rejetant la chair, il évite le risque d’un échec ou d’une humiliation. Son amour platonique devient alors une façade pour dissimuler une faiblesse, qu’il transforme habilement en vertu.
Illusion ou complémentarité ?
Peut-on vraiment dissocier l’amour de la chair de l’amour de l’esprit ? Si l’idéal socratique semble mépriser le corps, il n’est peut-être qu’un complément à une réalité plus vaste. La chair donne corps à l’amour, tandis que l’esprit lui confère une profondeur. Mais vouloir réduire l’amour à l’un ou l’autre semble réducteur.
Socrate, qu’il soit impuissant manipulateur ou les deux, nous laisse face à une question troublante : son amour platonique était-il une quête sincère ou un moyen de satisfaire une forme de plaisir pervers ? Derrière le masque du sage se cache peut-être un homme bien plus complexe, pour qui l’abstinence n’était qu’un jeu de pouvoir. Si l’amour véritable implique l’union du corps et de l’esprit, alors l’idéal de Socrate pourrait bien être une illusion, voire une forme de domination dissimulée sous les atours de la philosophie.
On peut considérer qu'il a refusé de protéger sa vie et de s'offrir, non pas à la mort, mais à la punition. Est-ce là la preuve que cet article est juste ? Quoi qu'il en soit, Socrate a bu le poison, la cynique que je suis pense qu'il y a meilleure eau à boire. Il suffit de suivre les animaux.
La dernière phrase attribuée à Socrate avant sa mort est rapportée dans le dialogue Phédon de Platon, qui relate les derniers instants du philosophe. Voici cette fameuse phrase :
"Crito, nous devons un coq à Asclépios. Payez cette dette, n’y manquez pas."
On ne sait pas si Crito a payé le coq. Mais plus tard Diogène attrape un poulet, le plume intégralement, le brandit devant les élèves de Platon et déclare triomphalement :
"Voici l’homme de Platon !" Faisant référence à celui-ci qui propose une définition de l’homme : "L’homme est un animal bipède sans plume."
Comment Diogène s'est il procuré le le poulet ? nul ne le sait ...
© Jeanne acœur de pierre
Hacker de pierre ?
Quelle pierre ?
La pierre des philosophes ...
1. Dépression majeure
Le manque de contact physique peut entraîner une profonde dépression, car il limite la production d’endorphines et d’ocytocine, des hormones liées au bien-être et à la régulation des émotions. L'isolement peut intensifier les pensées négatives et le sentiment de solitude, aggravant ainsi la dépression.
2. Trouble de l’attachement
Chez les enfants, l'absence de contact physique peut provoquer des troubles graves de l'attachement, comme le trouble réactionnel de l'attachement. Ces enfants peuvent devenir incapables de former des relations affectives stables et développer des comportements évitant ou agressifs.
3. Anxiété chronique
Le contact physique a un effet calmant sur le système nerveux en réduisant le cortisol (l’hormone du stress). Sans ce contact, l’anxiété peut devenir omniprésente, avec des symptômes tels que des crises de panique, une hypervigilance ou une peur constante d’abandon.
4. Syndrome de privation affective (ou "privation sensorielle")
Ce syndrome, souvent observé chez les enfants institutionnalisés ou dans des contextes de négligence sévère, se manifeste par un retard de développement, une apathie, une dépression profonde et parfois des comportements autodestructeurs. Chez les adultes, il peut conduire à un désengagement émotionnel et à des troubles dissociatifs.
5. Troubles de l’humeur et de la régulation émotionnelle
Le contact physique aide à réguler les émotions. Son absence prolongée peut entraîner des comportements impulsifs, des sautes d’humeur ou une hypersensibilité aux conflits.
6. Trouble obsessionnel-compulsif (TOC) ou comportements compensatoires
Pour combler le vide émotionnel, certaines personnes peuvent développer des comportements compulsifs, comme l’accumulation d’objets, des rituels répétitifs ou une obsession pour le contrôle.
7. Hallucinations et troubles psychotiques
Dans les cas extrêmes d’isolement prolongé, comme chez les détenus en isolement total ou les personnes gravement isolées, des symptômes psychotiques peuvent apparaître, tels que des hallucinations auditives ou visuelles.
8. Trouble du stress post-traumatique (TSPT)
L’absence de contact physique dans des contextes traumatiques, comme la maltraitance ou la négligence, peut exacerber un TSPT. Les victimes peuvent éviter tout contact futur, renforçant ainsi leur isolement.
9. Syndrome de Hikikomori
Ce phénomène, observé principalement au Japon, implique un retrait social extrême. L’absence de contact physique et émotionnel renforce un cercle vicieux d’isolement, d’anxiété sociale et de dépression.
10. Risques physiques et cognitifs
Le manque de contact physique affecte non seulement l’esprit mais aussi le corps. La privation peut affaiblir le système immunitaire, entraîner des douleurs chroniques et réduire les capacités cognitives, particulièrement chez les jeunes enfants en plein développement.
En résumé, le contact physique est bien plus qu’une simple interaction : il est un besoin fondamental. Son absence prolongée peut provoquer une détresse psychologique profonde, impactant tous les aspects de la vie mentale et émotionnelle.
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Reynolds propose des roues légères avec profil de 25 mm

Pour compléter sa collection route, Reynolds lance les Black Label 25 Pro DB, les Black Label 25 Expert DB et les AR 25 DB. Une gamme de roues légères avec un profil de 25 mm. Pour affronter les pentes, Reynolds propose une gamme complète de roues légères avec profil de 25 mm, déclinées en 3 versions, les Black Label 25 Pro DB, les Black Label 25 Expert DB et les AR 25 DB. Comme à son habitude la marque américaine utilise un profil identique de 25 mm, le D2 optimisé pour des pneus de 28 mm de section, mais des composites et des moyeux différents. Les modèles haut de gamme des roues légères Reynolds, Black Label 25 Pro DB, les Black Label 25 Expert DB, adoptent ainsi le composite C6 alors quel les AR 25 DB sont sur du C3, un composite tout aussi résistant mais plus lourd. Ces roues permettent d'obtenir un bon compromis aéro-rigidité-poids. Crédit reynolds Au top les roues sont équipés de moyeux Reynolds/I9 Torch Road, le second modèle exploite des moyeux Reynolds/Ringle Super Bubba X Road et en entrée de gamme on a des moyeux Reynolds/Ringle Ringle SRX Road. Enfin le rayonnage est en 20 av/24 ar rayons sur le haut de gamme et passe ensuite à 24 av/24 ar sur les deux autres modèles. Fiche technique roues Reynolds Black Label 25 Pro DB Les Black Label 25 Pro DB comptent parmi les roues les plus légères du moment. Crédit Reynolds - Jante : en carbone CR6 TL - Hauteur : 25 mm - Largeur : 21 mm interne, 30 mm externe - Caractéristiques : jante en carbone pour tubeless optimisée pour des section de 28 mm, fixation du disque par Centerlock, moyeux Reynolds/I9 Torch Road - Rayonnage : 20 rayons avant et 24 arrière - Roulements : annulaires acier - Corps de cassette : HG11, XDR, N3W, 12° engagement, 3 cliquets - Poids : 1 251 g - Prix : 2 360 € environ Fiche technique roues Reynolds Black Label 25 Expert DB Les Black Label 25 expert DB présentent un bon rapport qualité prix. Crédit Reynolds - Jante : en carbone CR6 TL - Hauteur : 25 mm - Largeur : 21 mm interne, 30 mm externe - Caractéristiques : jante en carbone pour tubeless optimisée pour des section de 28 mm, fixation du disque par Centerlock, moyeux Reynolds/Ringle Super Bubba X Road - Rayonnage : 24 rayons avant et 24 arrière - Roulements : annulaires acier - Corps de cassette : HG11, XDR, N3W, 12° engagement, 3 cliquets - Poids : 1 286 g - Prix : 1 950 € environ Fiche technique roues Reynolds AR 25 DB L'entrée de gamme est constituée par les AR 25DB. Un produit plus accessible mais plu slourd. Crédit Reynolds - Jante : en carbone CR3 TL - Hauteur : 25 mm - Largeur : 21 mm interne, 30 mm externe - Caractéristiques : jante en carbone pour tubeless optimisée pour des section de 28 mm, fixation du disque par Centerlock, moyeux Reynolds/Ringle Ringle SRX Road - Rayonnage : 24 rayons avant et 24 arrière - Roulements : annulaires acier - Corps de cassette : HG11, XDR, N3W, 12° engagement, 3 cliquets - Poids : 1 432 g - Prix : 1 485 € environ Contact : Reynolds, Axoreo Read the full article
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"Die Welt in Gelb"
La collection de livres de poche “Universal Bibliothek” a été lancée par l’éditeur Reclam en 1867. Elle est aujourd’hui une des plus populaire auprès des lycéens et des étudiants du fait de son petit format et de son prix modique (aux alentours de 5€) - certains titres classiques, comme le Wilhem Tell de Friedrich Schiller, dépassent ainsi allègrement la barre des 5 millions d’exemplaires vendus. La ligne graphique actuelle a été établie en 2012 par Cornelia Feyll et Friedrich Forssman. Elle utilise exclusivement le caractère DTL Documenta (1993) de Franck E. Blokland. Au sein de la collection, un code chromatique identifie les différentes séries : jaune (la plus représentée) pour les classiques en allemand, bleu pour les ouvrages didactiques, orange pour les éditions bilingues de classiques littéraires ou philosophiques, magenta pour les essais, rouge pour les ouvrages en V.O. (anglais, français, italien, latin, etc.) et vert pour les éditions commentées des classiques.

collection Universal Bibliothek, conception graphique par Cornelia Feyll et Friedrich Forssman, Reclam Verlag, 2012.
Quelle stratégie d’image de marque l’éditeur semble-t-il adopter ici ? Expliquez.
La stratégie de marque mise en place par Reclam Verlag à travers la nouvelle ligne graphique de la collection Universal Bibliothek, semble être de vouloir se placer comme référence actuelle dans le livre classique de poche.
En effet, graphiquement, tout est fait pour créer un principe de collection très fort qui surpasse la singularisation des titres. Ce principe graphique va donc engager la posture d’autorité de la maison d’édition et de la collection comme un gage de qualité plutôt que l’intérêt que le livre seul pourrait évoquer au lecteur.
Chaque couverture est construite sur le même modèle composé de ces quatre éléments. Le fond est en aplat coloré vif d’une des cinq teintes précises selon le genre auquel le titre appartient. Au centre en haut, se tient un encart blanc qui s’adapte à la taille du titre et du nom de l’auteur qui y est placé en fer à gauche. Une barre noire sépare le bas de l’encart et le reste du fond. Le même caractère est utilisé pour toutes les informations écrites de la couverture, le DTL Documenta, toujours en noir.
Les seuls éléments pouvant déroger à ce cadre sont les éventuelles images ajoutées pour certains titres. Ce sont les seuls éléments graphiques qui apportent un peu de singularité. Cependant, ces images ne vont jamais réellement perturber le principe de collection, car leur place est définie ce qui permet de garder un certain systématisme. Les photos sont placées en dessous du nom de l’auteur dans le bas de l’encart blanc et les autres types d’éléments graphiques comme les dessins sont placés dans le coin inférieur droit de la couverture, sur l’aplat du fond.
Un autre élément qui bouscule légèrement ce système n’est autre que le code couleur pour distinguer les branches de la collection UB. Ainsi, depuis la dernière refonte de 2012, un besoin de distinction entre les types de livres publiés au sein de la UB s’est remarqué. Cette collection existant depuis 1867, la quantité de titres parus est colossale. L’arrivée en 2009 de titre de non-fiction a notamment été le déclencheur de cette initiative. Ainsi, ce code couleur guide les lecteurs pour mieux s’y retrouver. Cinq teintes en plus du jaune déjà présent ont été choisies pour représenter ces séries. Cela permet de rapidement voir à quelle branche appartient à un titre tout en gardant les autres marqueurs forts de la collection et donc de garder ce fonctionnement en ensemble.
De ce fait, cette rigidité visuelle met en avant l’appartenance de chaque titre dans la collection UB de Reclam Verlag et donc la sélection et l’image que la collection représente plutôt que le titre seul. Cela s’explique par le catalogue de cette collection majoritairement composé de classiques. Il n’y a pas besoin de spécialement faire transparaître l’univers spécifique du livre, car le choix de l’éditeur fait posture d’autorité et s’engage auprès du lecteur d’une qualité constante et sur des titres publiés sous cette collection sur lequel le lecteur peut se reposer.
Reclam Verlag avec la collection UB va même plus loin puisque cette collection est devenue tellement iconique pour leur maison d’édition que son principe graphique s’est développé jusqu’à devenir son identité graphique. Évidemment, le jaune, couleur principale de la collection UB depuis 1970 est devenu synonyme de la maison d’édition, une couleur justement choisie pour sa fraîcheur et son impact visuel fort et attirant dont la majorité de leur catalogue est recouvert, car c’est la couleur de la littérature en langue allemande. Le DTL Documenta en noir est aussi beaucoup utilisé dans la majorité des contextes censé représenté la maison d’édition, leur logo est un fond jaune avec Reclam en DTL Documenta... En outre, le favicon, c’est-à-dire, le logo représentant leur page web est une version simplifiée d’une couverture jaune de littérature en langue allemande de la collection UB.
Ces couvertures ont fait des livres de la UB de Reclam les ouvrages auxquels on pense quand on veut des livres de poche pratiques et accessibles sur lesquels on peut faire confiance autant lors d’un voyage que dans le cadre de ses études. Un véritable lien d’appartenance s’est créé entre la maison d’édition Reclam et les lecteurs de la UB qui ne vont donc pas toujours acheter le livre pour ce qu’il est en tant qu’objet unique, mais plutôt pour son insertion comme part de l’Universal Bibliothek.

Quel rôle le caractère typographique choisi par les deux graphistes joue-t-il dans un tel positionnement ?
Le DTL Documenta a été le caractère choisi lors du redesign de la collection UB en 2012. Ce caractère a été créé par Frank E. Blokland en 1986 et vient remplacer le caractère Stempel Garamond précédemment utilisé dans la ligne graphique à partir de 1969 initié par Alfred Finsterer puis gardé par Brigitte et Hans Peter Willberg. Le DTL Documenta est un caractère sans empattement ce qui fait historiquement plutôt référence à l’histoire du livre imprimé. Cela permet de mettre en avant le sérieux de la collection et donc le fait de vouloir se placer comme référence d’un genre qui appelle au sérieux de son contenus comme la littérature, les livres d’études et les essais publiés par Reclam Verlag avec Universal Bibliothek.
Néanmoins, cette dimension de rigueur et de sérieux exposé à travers un caractère typographique sans empattement était déjà présente avec l’utilisation du Stempel Garamond, celle-ci étant d’autant plus forte avec ce caractère qui utilise directement des formes typographiques du début de l’imprimerie. Ce qu’apporte le DTL Documenta, c’est une lisibilité hors pair notamment quand il s’agit d’imprimer du texte dans un petit corps. En effet, ce caractère à peu de contraste entre ses pleins et déliés et possède un aspect robuste ce qui lui confère une lecture beaucoup plus agréable comparée au Stempel Garamond. Cette composante est très importante compte tenue que la collection UB est une collection au format poche avec du texte en plus petit, mais aussi par sa posture d’accessibilité qui demande donc une grande lisibilité.
Enfin, le DTL Documenta est un caractère moderne qui évoque donc mieux la portée de référence actuelle que souhaite incarner la collection UB et les éditions Reclam. D’une part, le DTL Documenta, à la manière de UB à un lien fort avec la tradition, ses formes s’inspirent notamment de la tradition typographique danoise de la renaissance. Pourtant, comparé à d’autres caractères s’inspirant de cette tradition, le DTL Documenta ne reprend pas directement ces formes historiques pour laisser place à l’aspect robuste évoqué plus tôt. D’autre part, son design ayant été pensé pour une utilisation agréable autant analogique que numérique, ce caractère apparaît avec un aspect adapté à une utilisation actuel tout en conservant une part historique. La collection UB est elle aussi dans cette tension entre son histoire et les codes graphiques et éditoriales petit à petit mis en place et sa volonté d’être une collection actuelle et tournée vers son temps. Utilisé le DTL Documenta dans le renouvellement graphique de la UB fait donc complétement sens quant à sa posture de référence.
De quelle manière cette collection s’inscrit-elle dans une tradition assez typique de l’édition allemande en littérature et en sciences humaines au vingtième siècle ?
La collection UB s’inscrit dans une tradition de l’édition allemande du vingtième siècle qui se matérialise dans des collections de livres de poche où le principe de collection surpasse la singularisation des titres à travers la stratégie de marques des maisons d’édition. En effet, plusieurs collections de maisons d’édition allemande depuis le début du vingtième siècle veulent se placer comme référence du livre de poche classique et accessible. Les traitements graphiques de ces collections mettent plus en avant le principe de collection plutôt que chaque titre individuellement puisque ce sont les choix des maisons d’édition et leur posture d’autorité sur la qualité de leur publication qui est évoquée ainsi. Ces traitements graphiques rigides mais spécifiques à chaque collection vont alors représenter ces collections et créer un effet d’associations chez leur lectorat.

collection Insel Bücherei, Insel Verlag, 1912.
Par exemple, on peut penser à la collection Insel Bücherei de Insel Verlag. Cette collection crée en 1912 s’incarne à travers une utilisation d’un fond à motif différent pour chacun de ses titres. En plus de ce fond, un encart blanc où se trouve le titre et le nom de l’auteur est placé au milieu de la couverture. Ici, le principe de collection ressort aux dépens de la singularité des titres, car les motifs choisis pour chaque couverture sont faits au hasard et n’ont aucun but sémantique lié au livre. De ce fait, c’est plutôt le fait d’utiliser des motifs du même style graphique ainsi que la répétition des mêmes éléments d’informations qui permettent d’identifier la collection Insel Bücherei au premier coup d’œil.

collection edition suhrkampf, conception graphique par Willy Fleckhaus, Suhrkampf Verlag, 1963
Ces principes se retrouvent aussi dans le travail du graphiste Willy Fleckhaus pour plusieurs collections de l’éditeur Suhrkampf Verlag. Par exemple, la collection edition suhrkampf crée en 1963 est composé de titres aux couvertures en aplats colorés avec le même systématisme pour les informations comme le titre et le nom des auteurs et noir ou blanc selon le contraste et avec le même caractère. Chaque fond correspond à une des 48 teinte définis au préalable et est donné aléatoirement au livre publié. Cela donne donc une cohérence globale très forte avec une envie de collectionner les titres d’ES pour avoir cet effet d’arc-en-ciel créer par la collection. Bien que chaque livre soit sa couleur, c’est l’accumulation de ces livres et l’effet créer dans sa bibliothèque qui en font des livre automatiquement reconnaissable et vu comme une entité à part entière sous la collection ES.
D’ailleurs, il est intéressant de noter que l’encart présent dans la collection Insel Bücherei ainsi que l’utilisation d’aplats de couleurs vives d'edition suhrkampf sont des éléments que l’on retrouve dans le redesign de Cornelia Feyll et Friedrich Forssman pour la Universal Bibliothek de Reclam Verlag comme (peut-être) une évocation de ces collections très marquante de l'édition allemande.
7436 signes
Dutch Type Library | DTL Documenta
Friedrich Forssman on the new Reclam design (designmadeingermany.de)
Die Welt in Gelb (reclam.de)
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Mafia: retour à Lost Heaven
Après dix huit ans, c’est toujours le même plaisir de rejouer à ce jeu. Les graphismes ont certes un petit peu vieilli mais cela ne gâche en rien le jeu en lui-même. Au contraire, ça lui donne, je trouve, un charme certain rajoutant d’avantage de nostalgie.
Mais qu’en est-il de l’histoire ? C’est celle d’un chauffeur de taxi des années 30, Tommy Angelo, qui se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment. Par un malheureux concours de circonstance, celui-ci se retrouve contraint de rejoindre la Mafia s’il espère survivre quelques années de plus. S’ensuit un schéma plutôt classique de règlements de compte, de courses poursuites, de récupération d’argent en échange d’une protection de la famille et d’autres missions tout aussi passionnantes et riches en rebondissements. Ces missions, au nombre de vingt sont toutes fun à jouer, même si certaines d’entre elles peuvent paraitre assez longues, voire anodines. On pense notamment à l’une des toutes premières missions qui tout en donnant un côté assez réaliste au jeu peut s’avérer assez ennuyeuse et peu passionnante.
En plus de l’histoire en elle-même. Quelques éléments annexes sont présents à travers une « collection » de véhicules ayant existé dans les années 30. Le contenu est assez léger mais le plaisir est là quand même, les mécaniques de jeu rendant le tout plutôt agréable même si on ne peut que constater une certaine rigidité dans les actions du protagoniste, mais dont il est facile de ne pas tenir rigueur, à cause l’âge du jeu. En plus de tout cela, on a quelques aspects intéressants notamment en ce qui concerne le rapport aux autorités. En effet, il faut faire bien attention à ne pas effectuer d’action illégale (excès de vitesse, meurtre, accident de la route…) sous peine d’une simple amende, d’une arrestation ou encore d’une chasse à l’homme contre toutes les forces de police de la ville.
En plus du mode histoire, d’autres modes de jeu sont disponible. Le mode libre circulation tout d’abord qui permet d’explorer la ville librement avec les véhicules débloqués lors du mode histoire. On trouve aussi le mode ultra libre circulation qui permet de débloquer de nouveaux prototypes de véhicules grâce à diverses missions assez « spéciales ».
Pour ce qui de l’ambiance générale, la population de Lost Heaven est assez active, la musique est bonne même si elle ne m’a pas marqué plus que ça.
En somme, Mafia est un très bon jeu qui se laisse apprivoiser très facilement encore aujourd’hui, avec des personnages attachants, une histoire captivante et un gameplay assez varié. Un jeu à faire pour ceux n’ayant pas pu le faire lors de sa sortie.
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Une vie avant une autre
Imaginez simplement n’importe quel animal qui muerait. Il faut parfois assurément je crois savoir panser pour ses idées. Il y a plusieurs raisons à cela, parfois parce que ressentir est aussi penser avant les autres. Parfois parce qu’il ne nous resterait au contraire autre chose. Il y a quelques années j’avais une ami qui pendant une rupture m’avait compté ses méfaits. Bien que le pardon eu fait le même ouvrage que le temps, ses indications m’avaient en sommes toujours parus claires, commes ces panneau reflechessisant dans ses virages de campagnes. Une assurance dans la nuit, une rare certitude.
Je pense ne jamais chercher à avoir raison. Peut-être tout au plus a aider la pensée collective dont je ne souhaite jamais faire complètement partie. Beaucoup n’apprennent leur mort que bien trop tard et il seront encore plus rare a vouloir en subir le blâme avant que le sort ne s’apparaisse. Que faire alors si l’on se suffis, rien car la belle lit. Il faut je pense savoir aussi avoir son propre cran tant que l’air cordial nous anime. Bien heureux celui qui passera Trois en héros, si il est parmis nous les chances ne pourront nous quitter mais certaines rigidités existeront toujours, comme les panneaux reflechissants dans la nuit.
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Maniology - Holly Jolly Starter Kit
Hellow tout le monde! Aujourd’hui, je vous parle d’une marque que j’apprend à connaître depuis quelques mois et affectionne de plus en plus : Maniology!
Il s’agit d’une marque américaine de plaques et vernis à stamping connue anciennement sous le nom de Bundle Monster. La qualité des produits est excellente, le design des plaques original et les couleurs des vernis intéressantes. Depuis 2 mois je reçois la Mani X Me box, un abonnement mensuel dans lequel je reçois 2 plaques, 2 vernis à stamping et un article surprise. C’est une belle façon de grossir sa collection petit à petit et d’avoir une petite nouveauté avec laquelle nailarter tous les mois. J’ai particulièrement adoré la boite d’octobre avec laquelle j’ai confectionner les nailarts suivants :


Je trépigne déjà de recevoir ma boite de novembre qui devrait arriver vers le milieu du mois.
Il y a un peu plus d’une semaine, j’ai commandé le Holly Jolly Starter Kit, une édition limitée sorti pour les fêtes et j’ai décidé de vous présenter le kit! Je désirais un stamper supplémentaire de la marque et je me suis dit que prendre un kit avec 2 plaques et 2 vernis allait en valoir la peine pour le shipping (le ship gratuit n’est pas dispo en dehors des USA). À ce moment, le Holly Jolly Kit venait juste de sortir et je me suis laissée tenter.

Comme déjà mentionné, le kit comprend 2 plaques, 2 vernis, un stamper transparent taille XL (le plus gros que je possède maintenant) et un scraper. Je trouve que les scrapers de Maniology manquent de rigidité et je ne pense pas l’utiliser, mais il reste sympathique. Une vieille carte bancaire, de membre ou carte-cadeau fait hyper bien le travail et leur taille est plus agréable à manipuler.
Le tampon, lui, je peux déjà dire même sans l’avoir encore essayé que je vais l’adorer. Sa taille, idéale pour stamper sur l’intégral des ongles (surtout le pouce), est agréable à avoir en main.

Sa transparence est parfaite et même si son silicone est moins tendre que le Ice cube stamper, il reste de bonne envergure et je sais que je n’aurai aucune difficulté à l’utiliser. Ce tampon est la raison principale de mon achat, mais le reste du kit ne déçoit pas non plus!
La boite comprend 2 vernis à stamping et le premier, Frosty, est carrément ma couleur favorite.

C’est un crème turquoise mi-foncé dont la teinte n’est pas du tout agressive et donne l’impression de vouloir tourner au vert-de-gris. Il va être idéal pour les nailarts d’hiver à venir.
L’autre vernis, Confetti, est un fuchsia bien flashy avec une petite dose de holo discret mais à l’effet hyper intéressant.

Le combo de couleurs est sympathique pour une boite au thème hivernal, mais ça reste pour moi des couleurs cool à utiliser tout au long de l’année. Rajouter ces 2 teintes dans ma collection de vernis à stamping a été la 2e raison de l’achat de ce kit!
Et avec tout ça, vient 2 plaques, M078 et M079. La première sur le thème de Noël et la seconde sur celui du Nouvel An.


Sans trop réfléchir, il me vient 2-3 idées de nailart avec ces plaques, alors vous allez sûrement recroiser ces motifs dans mon feed en décembre! Le kit m’a coûté 25$ USD pour une valeur initiale de 32. Un deal agréable pour l’ajout de quelques nouveautés de saison dans ma collection :)
Je vous laisse avec un petit nailart rapide réalisé avec le vernis Frosty et la plaque M022 que j’avais commandé en même temps que le kit. Ses motifs sont un peu plus de saison que ceux de Noël, je vais me garder les plaques du kit pour décembre :p Les deux autres vernis utilisés sont Music Box de ILNP et Marshmallow de Essie et j’ai rajouté un fini mat... parce que je suis obsédée par matifier mes vernis holo ces temps-ci XD

On reparle de Maniology avec la Mani X Me box de novembre? J’espère que vous avez aimé ce petit aperçu du Holly Jolly Starter Kit! Ce genre de boite est l’idéal pour un débutant du nailart qui n’est pas encore équipé. D’ailleurs, bientôt je vous fait un article sur les outils essentiels du nailart au stamping :)
À plus les cocos! xXx
#maniology#hollyjollystarterkit#hollyjolly#maniqc#qcblog#blogqc#starterk#stamping#stampingkit#stampingnailart#nailart#fallnailrt#manixmebox#onglesquebec#ongles#onglesdujour#vernisàongle#nailartaustamping
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5 détails qui rendent la Ferrari Portofino si spéciale
Plus rapide, plus confortable, plus fluide et plus efficace — la nouvelle Portofino de Ferrari n'a pas beaucoup changé dans le concept, mais c'est mieux que le California T en tout point. C'est la voiture la plus importante de Ferrari pour des raisons clés, à commencer par le flux de revenus, et c'est un indicateur évident comment la petite entreprise à Maranello (et peut-être son auditoire) a changé les 25 dernières années.
Les choses importantes sont toujours là, bien sûr: un rapport puissance-poids impressionnant, un rendement spécifique fou-élevé, l'aérodynamique étudiée, le design italien et le flair. Il ya de nouvelles pièces de technologie, aussi, mais ils ne sont pas toujours visibles à l'œil nu.
Affichage vidéo passager

Écrans d'affichage de diverses technologies sont partout dans les voitures ces jours-ci, et le plus souvent ils sont de la variété haptique-Touch. Le principe directeur pour les concepteurs automobiles semble être que les écrans plus grands sont mieux. La Portofino obtient également un, beaucoup plus grand que celui dans la voiture qu'il remplace, et il peut être divisé pour montrer deux vues différentes ou ensembles de données. Aussi dur que cela puisse être pour les geeks de la vieille école Ferrari à envelopper leurs esprits autour de Split Touch-screens et des cartes 3D, l'écran principal de Portofino n'est pas susceptible d'obtenir plus d'une mention de passage dans la revue de lecteur typique.
Ce qui apparaît plus avec force est un deuxième écran tactile, et quelque chose que nous n'avons pas vu ailleurs-un allongé, 8,8 pouces LCD directement devant le passager avant, caché au-dessus de la boîte à gants de Portofino dans l'espace où vous pourriez vous attendre une bande de garniture. Cet écran permet au passager d'afficher un ensemble de données distinct, à partir de compteurs de performance comme la vitesse de la route et RPM pour NAV invite à des choix de divertissement, indépendamment de ce qui est en face du pilote ou sur l'écran plus grand dans la pile centrale.
Veuillez cliquez ici pour en savoir plus sur le site concernant Autoardio BMW F20
Évents Fender
Les fentes, les lèvres ou les grumeaux en tôle Ferrari ne sont généralement pas des ornements simples, mais les évents ou les canaux pressés dans les ailes avant de Portofino font partie d'une solution aérodynamique particulièrement astucieuse et esthétiquement intéressante. Travaillant en conjonction avec un bord de port mince de chaque ensemble de phare, les évents fournissent un couple d'avantages significatifs.

En effet, le combo fente/évent réduit considérablement la traînée, parce qu'il vide l'air extra-turbulent qui tend à collecter autour des puits de roue d'une manière plus prévisible. Cet air s'écoule comme un «rideau d'air» plus dense des aérations de puits de roue vers l'arrière, près des flancs de la Portofino, selon les ingénieurs Ferrari. C'est l'un des plus grands contributeurs à une réduction de 6 pour cent de la traînée, par rapport à la Californie T.
Boîtiers Turbo en fonte
Les collecteurs d'échappement de la Portofino sont maintenant coulés en une seule pièce avec le boîtier Turbo, plutôt que soudés à partir de pièces séparées. C'est quoi le problème avec ça? Où commencer?
Oui, nous commençons à voir des collecteurs d'échappement qui sont jetés dans, plutôt que boulonnés à, la culasse, sur les voitures plus piétonnes que la Portofino, et nous avons vu un exemple plus rudimentaire de ce que Ferrari a fait avec son turbocompresseur V8S. Cela vient de Hyundai quand il a lancé son 2,0-litre turbo injection directe quatre dans la Sonate en 2010. Mais il est venu seulement après Hyundai (l'un des plus grands du monde, les plus doués fabricants) a passé des années à développer un procédé breveté pour fabriquer le collecteur monobloc/cas de turbine, puis a dû chercher longtemps et dur pour un fournisseur qui pourrait effectivement fabriquer Il. Et le casting unique de Hyundai est un collecteur plus conventionnel, de type fourche.
Sous-plateaux en aluminium
Underplateaux sur le fond des voitures de production ne sont rien de nouveau, et ils ont coulait vers le bas d'une certaine façon à certaines des voitures les moins chères que vous pouvez acheter. Pourtant, même dans les voitures chères avec de vastes sous-plateaux, ces dispositifs de limitation de traînée ont tendance à être moulé à partir de plastique ou un composite léger. Les sous-plateaux de la Portofino sont estampillés d'aluminium et attachés avec des boulons plutôt que des attaches de type Dzus ou autre chose.

Ils ne sont pas conçus comme des plaques de dérapage géant, mais ils ont probablement ajouter une certaine protection dans ce contexte. Les sous-plateaux en aluminium de Portofino fournissent effectivement le cadrage structurel que le plastique ne pouvait pas. Cela permettait aux ingénieurs Ferrari d'enlever la masse ailleurs dans le cadre de la Portofino avec des extrusions ou des moulages plus légers. En bref, les plus lourds sous-plateaux en aluminium ont été cruciaux pour alléger le cadre de la Portofino 70 livres par rapport à la Californie T, tout en offrant une augmentation de 35 pour cent de la rigidité en torsion statique.
Cadres de siège en magnésium

Nous avons vu le magnésium dans les applications de l'automobile d'après-guerre depuis au moins les années 1950, des roues de course aux cas de boîte-pont dans la basse et puissante Volkswagen Beetle. Alliages de magnésium ont fait un peu de retour à travers les années 2000, grâce en partie à des avances de fabrication et généralement dans les voitures haut de gamme via une accolade ici ou un cas là-bas. Pourtant, avec de rares exceptions (comme le coléoptère), il ya généralement une façon moins coûteuse de le faire.
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bottes de printemps
Nous sommes arrivés à l’enclos, j’ai trouvé ma place dans un corral, jeter mon sac poubelle, et a attendu pour la course pour commencer. Le d'allen iverson deux versions, porté par deux des plus grands noms dans le jeu, bryant et lebron, voir la couleur pourpre et vert [respectivement] utilisé plus une base de teinte blanche.inspired par l'anatomie humaine, la première chaussure de cette collection est ce qui en fait retour temps pour les festivités d'octobre.Alors, comment Sports Marathon veulent peser sur le débat. s’ avère une bouteille plastique capuchon était coincé dans Bottes De Marque Soldes.d’abord, clarifions certains termes. Tout ceci étant dit, je pense que comme l’hiver fait place au printemps, ces chaussures vont voir beaucoup moins d’utilisation sur mes courses en raison de leur poids et de rigidité. J’ai eu cou-emballage des problèmes dans le passé avec appartements comme les bottes boots femme en raison de l’étroitesse de la toebox, mais le silence vert monter mon pied comme un gant - pas de cloques comme j’ai eu avec le T6 Racer, pas même un seul point chaud. L'image de marque de ransom des caractéristiques telles qu'un logo en creux sur le talon latérale extérieure, et imprimé sur le insole. Les tailles vont de uk6 uk11, au prix de 140 Site De Chaussure Pas Cher. Le modèle insta pump fury, dans son 20e anniversaire, est réuni avec le vin des détaillants de luxe ethos inspiré sur le modèle éclectique. Vraiment, vous devez le faire. Le t-shirt noir fait un retour attendu avec le Botte De Neige Femme En Ligne coloris gris marl que la nouvelle addition. Si rien d’autre, de regarder mon Marathon Disney 2010 vidéo et photo vous-même derrière la caméra - n’importe qui peut le faire, et que je crois vraiment. L’avant pied- et la mi-pied-grève gaits étaient probablement plus fréquent lorsque l’homme a couru pieds nus ou en chaussures minimal, et peuvent protéger les pieds et les membres inférieurs à partir de certaines des blessures liées à l’impact connu par un pourcentage élevé de coureurs. Le Silence vert a déjà gagné lui-même une place importante dans ma chaussure de course rotation, et je vais certainement porter dans ma prochaine course (soit un 4-miler ou un 5K). Cette silhouette est également livré dans une version tweed avec feutre de laine du fournisseur toscane lanificio bigagli et un noir vibram outsole. Poursuivant son esthétique vintage est la langue éponge ouverte avec bottes vintage marque sur l'étiquette de tonguel.
www.botteshiver.com/

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Reynolds propose des roues légères avec profil de 25 mm

Pour compléter sa collection route, Reynolds lance les Black Label 25 Pro DB, les Black Label 25 Expert DB et les AR 25 DB. Une gamme de roues légères avec un profil de 25 mm. Pour affronter les pentes, Reynolds propose une gamme complète de roues légères avec profil de 25 mm, déclinées en 3 versions, les Black Label 25 Pro DB, les Black Label 25 Expert DB et les AR 25 DB. Comme à son habitude la marque américaine utilise un profil identique de 25 mm, le D2 optimisé pour des pneus de 28 mm de section, mais des composites et des moyeux différents. Les modèles haut de gamme des roues légères Reynolds, Black Label 25 Pro DB, les Black Label 25 Expert DB, adoptent ainsi le composite C6 alors quel les AR 25 DB sont sur du C3, un composite tout aussi résistant mais plus lourd. Ces roues permettent d'obtenir un bon compromis aéro-rigidité-poids. Crédit reynolds Au top les roues sont équipés de moyeux Reynolds/I9 Torch Road, le second modèle exploite des moyeux Reynolds/Ringle Super Bubba X Road et en entrée de gamme on a des moyeux Reynolds/Ringle Ringle SRX Road. Enfin le rayonnage est en 20 av/24 ar rayons sur le haut de gamme et passe ensuite à 24 av/24 ar sur les deux autres modèles. Fiche technique roues Reynolds Black Label 25 Pro DB Les Black Label 25 Pro DB comptent parmi les roues les plus légères du moment. Crédit Reynolds - Jante : en carbone CR6 TL - Hauteur : 25 mm - Largeur : 21 mm interne, 30 mm externe - Caractéristiques : jante en carbone pour tubeless optimisée pour des section de 28 mm, fixation du disque par Centerlock, moyeux Reynolds/I9 Torch Road - Rayonnage : 20 rayons avant et 24 arrière - Roulements : annulaires acier - Corps de cassette : HG11, XDR, N3W, 12° engagement, 3 cliquets - Poids : 1 251 g - Prix : 2 360 € environ Fiche technique roues Reynolds Black Label 25 Expert DB Les Black Label 25 expert DB présentent un bon rapport qualité prix. Crédit Reynolds - Jante : en carbone CR6 TL - Hauteur : 25 mm - Largeur : 21 mm interne, 30 mm externe - Caractéristiques : jante en carbone pour tubeless optimisée pour des section de 28 mm, fixation du disque par Centerlock, moyeux Reynolds/Ringle Super Bubba X Road - Rayonnage : 24 rayons avant et 24 arrière - Roulements : annulaires acier - Corps de cassette : HG11, XDR, N3W, 12° engagement, 3 cliquets - Poids : 1 286 g - Prix : 1 950 € environ Fiche technique roues Reynolds AR 25 DB L'entrée de gamme est constituée par les AR 25DB. Un produit plus accessible mais plu slourd. Crédit Reynolds - Jante : en carbone CR3 TL - Hauteur : 25 mm - Largeur : 21 mm interne, 30 mm externe - Caractéristiques : jante en carbone pour tubeless optimisée pour des section de 28 mm, fixation du disque par Centerlock, moyeux Reynolds/Ringle Ringle SRX Road - Rayonnage : 24 rayons avant et 24 arrière - Roulements : annulaires acier - Corps de cassette : HG11, XDR, N3W, 12° engagement, 3 cliquets - Poids : 1 432 g - Prix : 1 485 € environ Contact : Reynolds, Axoreo Read the full article
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La crème du design du packaging mondial a été dévoilée le 30 avril 2018 pour The Dieline Awards.
Sélection et décryptage de ces emballages qui touchent aux émotions en décuplant l’expérience d’utilisation.
Repenser la perception des cartes à jouer, c’est le défi que s’est lancé Seasons Playing Cards.
Pour la 2ème édition du "National Playing Cards Collection Day", les cartes jouent la finesse du quatre-feuilles, ce motif ornemental qui a représenté l'art manuel dans la révolution pré-industrielle et s'est finalement développé dans un symbole pour le luxe. Une conception novatrice permet à l’utilisateur d’ouvrir la boite d’un seul geste grâce au fourreau qui maintient la friction sur les bords et la rigidité de l’ensemble.
Innovation technique et d’impression sont aussi de la partie car l’ensemble a été imprimé en un seul passage pour permettre au projet de se parer d’une dorure à chaud tout en bénéficiant d’économies d’échelle grâce à un savant calcul de raccords au niveau du design. La dorure épouse ainsi parfaitement le papier perlescent de NEENAH® pour offrir un spectaculaire packaging miroitant. Cette parure sophistiquée permet de donner à l'étui de cartes une valeur historique et offre aux amateurs une précieuse expérience de l'art du jeu.
Autre style et nouvelle prouesse avec ODE, la gamme d’huiles haut de gamme venues de Grèce.
Conçus comme une ode à la poésie, enivrant et charnel, le packaging nous transporte dans un voyage de senteurs et de couleurs.
Le logo pour la gamme d'ODE a été conçu avec un changement constant de l'interlettrage comme les périodes différentes que nous trouvons dans la poésie ou les mesures d'une chanson. Traité comme une œuvre d’art, le design du packaging s’ancre autour d'un point commun que l’on retrouve dans chaque tableau, le cadre.
Design de parfum, graphisme d’œuvre d’art, Ode repense avec maestria les codes de l’huile pour sublimer la cuisine.
Ambiance nordique avec, le Cube, de la Scandinavian Airlines System, pour augmenter l’expérience du repas dans les airs.
L'inspiration du Cube vient de l'héritage scandinave et de la nature, influencé par les paysages nordiques. L'extérieur du Cube est d’un blanc apaisant avec des illustrations des montagnes norvégiennes, de la côte danoise et des forêts suédoises.
Quand le Cube est ouvert, le thème scandinave continue à se dérouler. Les couches indépendantes sont révélées avec en premier lieu la carte du menu. La conception du Cube est vraiment unique, inspirée par la culture à emporter. L'ouvrir c’est comme déballer un cadeau. Son ergonomie offre un gain d’espace, permettant au passager de continuer à lire ou de regarder un film pendant le vol. Les condiments, emballés séparément, donnent également la liberté de personnaliser son repas. Une merveille qui devrait inciter les autres compagnies à repenser l’expérience des repas servis à bord sur le modèle du “consumer centric”.
Laetitia Masini pour provoke experience, source : The dieline awards 2018
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Tenue Yoga Soldes
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